Allongée sur le lit, ses cheveux étalés reposent à présent sur les draps. Tout en y glissant sa main en une douce caresse, il l'étourdit de ses baisers. Et tandis que sa bouche cherche une nouvelle fois à se poser sur ses lèvres, son autre main descend son cou. Elle continue par effleurer son sein, puis son ventre qui se contracte sous l'envie d'une caresse, pour enfin s'arrêter sur ses reins. Il connait tant la douceur de sa peau mais si peu les formes de son corps. Les découvrir à la suite de ses caresses, le gêne presque autant qu'il en est émerveillé. Parcourant sa cuisse, il émet l'hésitation d'atteindre son entre-jambe. Comme pour l'encourager et lui donner raison, elle lève ses jambes et les enroule autour de ses hanches. Son cœur s'enflamme et se réjouit secrètement de voir ses yeux briller de plaisir. Dans un souffle, il lutte encore contre cette envie qui émane de son sexe et qui veux l'emporter. Il pense à l'amour qu'il lui porte. Cet amour qui ne le fera pas bestial comme son sexe le désir. Il sera tendre.
A voir ses yeux clos, son corps s'évanouir à sa vue sous les draps, il regrette de ne pas pouvoir encore parcourir sa peau de ses mains.
(Le texte sera peut-être modifié)
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mercredi 21 octobre 2009
lundi 12 octobre 2009
Tendres passions
C'est machinalement qu'il se retourna vers elle. Sans croiser son regard, il se pencha pour frôler avec hésitation ses lèvres. Il sentit son cœur accélérer, s'enflammer. Un léger frisson le parcourut, il trahissait la frêle inquiétude qu'il avait. Dissipée par le nouveau contact de leurs lèvres, son cœur en semblait plus léger car son baiser lui était rendu.
Il oublia presque ses sens. Son odorat ne captait que le doux parfum émanant du cou de sa belle, son sens du toucher semblait exciter uniquement en ses lèvres, et il n'avait que le goût de ce baiser sucré. Quant-à son ouïe et sa vue, absentes de son corps, elles paraissaient n'avoir jamais servi. Enivré de cette chaleur qui n'affectait pas son corps, il était ivre de cet instant. Cette ivresse originaire du trouble de ses sens, le séparait du monde pour mieux l'unir à elle. Dans ce voyage où elle était seule à exister, il n'éprouvait que la douce sensation du bien être. Par ce baiser chargé de tendresse, il voulut lui transmettre son amour. A l'impression qu'elle a de flotter à son coté, elle comprend, apprécie et partage.
Dans un dernier mouvement leurs bouches s'effleurèrent comme pour échanger une promesse de se retrouver. Toujours dans cet état altéré, il ouvrit ses yeux qui de suite plongèrent dans les siens. Ils ne s'embrassaient plus mais voyageaient encore. Peu à peu il retrouvait toute sa sensibilité. Quand cette douce chaleur qui l'avait envahi le quitta en semblant se prolonger uniquement dans sa main, il comprit qu'il avait saisi la sienne. A l'instant où de ce voyage, il ne restait plus que les battements de son cœur qui voulait rompre sa poitrine, il mit sa main dans ses cheveux, se pencha une nouvelle fois, et l'embrassa. Son souhait était réalisé, ils s'égarèrent à nouveau dans cet endroit où ils étaient les seuls à pouvoir accéder par un simple baiser.
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Il oublia presque ses sens. Son odorat ne captait que le doux parfum émanant du cou de sa belle, son sens du toucher semblait exciter uniquement en ses lèvres, et il n'avait que le goût de ce baiser sucré. Quant-à son ouïe et sa vue, absentes de son corps, elles paraissaient n'avoir jamais servi. Enivré de cette chaleur qui n'affectait pas son corps, il était ivre de cet instant. Cette ivresse originaire du trouble de ses sens, le séparait du monde pour mieux l'unir à elle. Dans ce voyage où elle était seule à exister, il n'éprouvait que la douce sensation du bien être. Par ce baiser chargé de tendresse, il voulut lui transmettre son amour. A l'impression qu'elle a de flotter à son coté, elle comprend, apprécie et partage.
Dans un dernier mouvement leurs bouches s'effleurèrent comme pour échanger une promesse de se retrouver. Toujours dans cet état altéré, il ouvrit ses yeux qui de suite plongèrent dans les siens. Ils ne s'embrassaient plus mais voyageaient encore. Peu à peu il retrouvait toute sa sensibilité. Quand cette douce chaleur qui l'avait envahi le quitta en semblant se prolonger uniquement dans sa main, il comprit qu'il avait saisi la sienne. A l'instant où de ce voyage, il ne restait plus que les battements de son cœur qui voulait rompre sa poitrine, il mit sa main dans ses cheveux, se pencha une nouvelle fois, et l'embrassa. Son souhait était réalisé, ils s'égarèrent à nouveau dans cet endroit où ils étaient les seuls à pouvoir accéder par un simple baiser.
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